XTL EST UN CARBURANT BIOSYNTHÉTIQUE LIQUIDE QUI EST UNE ALTERNATIVE DE COMBUSTION BIEN PLUS PROPRE QUE LE GAZOLE FOSSILE

Les carburants synthétiques ou synfuels ou eFuels sont des carburants liquides, ou parfois gazeux, obtenus à partir de gaz de synthèse, un mélange de monoxyde de carbone et d’hydrogène, dans lequel le gaz de synthèse est dérivé de la gazéification de sources solides, liquides, ou gazeuses, telles que les déchets de restauration (UCO - used cooking oil) et/ou de biomasse agraire durable ou lignocellulosique (BTL), ou par reformage du gaz naturel (GTL). Dernièrement, on peut même avoir recours à un processus de synthétisation d’hydrogène et de CO2, capté au plus près des industries : c’est le PtX (Power-to-X). Ils peuvent être également obtenus par recyclage de plastique et de polystyrène.

Le nom générique des carburants synthétiques est XTL ou eFUELS.

3 catégories de XTL coexistent :

• BTL (végétale & huiles usagées végétales, UCO durable) - BIO-TO-LIQUID
• GTL (fossile) - GAS(méthane)-TO-LIQUIDS et BioGTL
• PTL (eau et électricité : phase usine démo) - POWER-TO-LIQUID

Nous distribuons en exclusivité le XTL/BTL/HVO (ALTENS/NESTE) et le XTL/GTL (SHELL)

Les XTL que nous distribuons aujourd’hui : XTL 10/XTL 30/XTL 50/ PUR XTL 90/ BTL/ PTL. Ce sont des CARBURANTS ALTERNATIFS biosynthétiques aussi appelés « biogazole paraffinique ». Nous les proposons en exclusivité en PACA et dans toute la France et Monaco dans 8 dépôts massiques. Ils sont issus du recyclage de déchets et de résidus, tels que les graisses d’équarrissage, de l’huile usagée de la restauration, de l'huile de tall, des copeaux de bois, des matières sèches lignocellulosiques, des polystyrènes, etc. d’origine européenne et française.

Les XTL sont des biocarburants conformes à la norme EN 15940 et compatibles avec toutes les motorisations Diesel. Ils sont très stables dans le temps et très peu sensibles à la dégradation par oxydation. Leur objectif ? Réduire les besoins en entretien des véhicules et offrir d’importantes réductions d’émissions de CO2 et de polluants atmosphériques.

ROMANO ENERGY est un pionnier des technologies Gas-To-Liquids et Bio-To-Liquid (XTL/BLT.Re), qui sont des carburants de synthèse fabriqués à partir de gaz naturel ou de bio-déchets selon le procédé Fischer-Tropsch. Ce procédé décompose les molécules de gaz et les réassemble en molécules uniformes plus grosses, d’une manière soigneusement contrôlée. L’un des produits est le XTL/BLT.Re, un biocarburant alternatif qui brûle plus « propre » que le diesel standard. Parce que ce processus de fabrication produit des molécules plus cohérentes et uniformes par rapport au raffinage de pétrole brut conventionnel, BLT.Re a amélioré les propriétés de combustion à l’intérieur des moteurs Diesel standard et contribue ainsi à réduire les émissions de polluants atmosphériques. Il est également exempt de composants indésirables tels que le soufre, les métaux et les aromatiques, ce qui le rend non toxique et donc moins nocif pour l’environnement.

D’un autre côté, ce carburant est fabriqué à partir de bio-déchets qui sont synthétisés en un diesel identique, donc, en termes d’émissions de gaz carbonique, nous économisons plus de 90 % de CO2 eq en restant 100 % compatible.
Alors que le monde passe à une mobilité moins polluante, nous pensons que BLT.Re fera partie du mix de carburants qui sera nécessaire pour propulser l’avenir, aux côtés de la mobilité électrique, du GNL, du GTL, du PTL, de l’hydrogène Vert, du GNC, du GPL, du diesel et de l’essence…

Le magazine #linternaute : Qu’est-ce que le diesel XTL ?
https://www.linternaute.com/auto/magazine/1746787-les-carburants-changent-de-nom-lequel-allez-vous-devoir-choisir/1746877-le-diesel-xtl.amphtml/

ou

#transportissimo : https://www.transportissimo.com/altens-introduit-xtl-dans-marche-comme-outil-complementaire-b100/

Le XTL DIN EN 15940 appartient au groupe d'hydrocarbures miscibles avec une matrice d'hydrocarbures d'un mélange de combustibles et, par conséquent, l'utilisation de XTL comme composant de mélange n'a pas besoin d'être réglementée davantage par des normes techniques. Cela signifie que XTL peut être utilisé comme composant de mélange dans le carburant diesel sans valeur maximale fixe en pourcentage. En pratique, le facteur limitatif est la densité minimale fixée par la norme EN 590, qui est généralement atteinte à des dizaines de pourcentages de XTL. L'étiquetage « B7 » se réfère uniquement au contenu de B100 maximal et non au contenu XTL.

Ainsi, vous pouvez roulez en XTL, puis faire un complément sur la route en gazole, puis retourner faire le plein de XTL les yeux fermés !

Y a-t-il assez de volume de XTL disponible en Europe et en France ?

La filière du recyclage des graisses animales incluant les graisses collectées dans les abattoirs et équarrissages se situe autour de 3,5 millions de m3. La collecte des huiles alimentaires usagées auprès des restaurateurs évolue aujourd’hui autour de 1,1 million de m3 annuellement en Europe. Aujourd’hui et à très court terme, d’autres matières résiduelles comme les déchets de bois (lignocellulosiques), l’huile de tall, les déchets plastiques vont entrer en grande partie dans le processus de production du XTL. Ces matières premières seront traitées via un procédé de pyrolyse rapide, ce qui va permettre de multiplier le gisement de matières premières pour ce biocarburant.
À moyen terme (2025), le XTL pourra majoritairement être produit en captant le CO2 de l’atmosphère et en le transformant avec un apport énergétique renouvelable (solaire par exemple). On parle alors de PTL (Power-To-Liquid).

Voici la carte de nos dépôts.

Nos dépôts

XTL/BLT RE fait partie de la famille des carburants appelés «carburants paraffiniques». L'organisme européen de normalisation CEN a publié la spécification finale pour les carburants paraffiniques, EN-15940, à la mi-2016, ouvrant la voie aux législateurs et aux fabricants pour qu'ils se réfèrent spécifiquement à ces carburants alternatifs dans la législation et les manuels. En Belgique et en Hollande, il est en libre distribution. Il le sera bientôt en France, en station-service, pour le grand public.

À MONACO, DÉJÀ 2000 VÉHICULES sont tous les jours alimentés en XTL depuis 3 ans avec succès. En France, près de 1000 véhicules et en 2022 nous comptons dépasser les 5000 véhicules et engins.

Cette solution est à la fois une des seules ÉNERGIES 100 % DURABLES et RENOUVELABLES à notre disposition, mais elle est également une ÉNERGIE issue de l'économie circulaire.

Le poids carbone est ainsi réduit quasiment à zéro. En effet, nous émettons jusqu’à -90 % de CO2 en moins que les mêmes bus ou camions au gazole, et le poids carbone de la solution est en-dessous de celui d’une éolienne ! Il est 2 à 3 fois inférieur au poids carbone de l’énergie électrique de réseau !

INFORMATION DURABILITÉ FOURNISSEUR MONÉGASQUE D’ÉNERGIES BIO-SOURCÉES ET D’ÉCO-COMBUSTIBLES

Le marché Européen des biocarburants est soumis aux critères de durabilité pour les biocarburants dans les directives promotion des énergies renouvelables. Le calcul des émissions de gaz à effet de serre est harmonisé avec le système BioGrace.

Pour en savoir plus, voir le site de Biograce.

À cela s’ajoute les schémas 2BSvs, ISCC, ou Schéma National qui ont pour objectif de démontrer, via une vérification indépendante, le respect des critères de durabilité fixés par la directive et ainsi de certifier la biomasse utilisée comme matière première et les biocarburants produits. Les sociétés comme Bureau Veritas, Control Union, SGS sont en charge des audits une fois par an pour contrôler les producteurs et distributeurs de biocarburants.

Pour en savoir plus, voir le site de l'ISCC.

L’ensemble des producteurs et distributeurs sont soumis aux mêmes règles et la profession doit reporter à la Direction générale de l’Énergie et du Climat (DGEC) la mise à la consommation, le calcul de GES, et la traçabilité des biocarburants.

Pour en savoir plus, voir le site ecologie.gouv.fr.

Selon les carburants, Romano Energy garantit à travers ses partenaires importateurs de 55 % à 90 % de réduction d’émissions de CO2 en comparaison à l’utilisation de gazole. Le point le plus important qui différencie les biocarburants ayant une économie de CO2 entre 50 à 65 % par rapport aux biocarburants qui ont une économie de CO2 entre 80 à 90 % se situe sur la matière première qui entre dans le processus de production.
Ainsi, tous les biocarburants qui sont entre 50 à 65 % sont issus de matières premières végétales/agricoles (huile de colza, tournesol, etc.) et si l’économie est supérieure à 80 %, le biocarburant est produit à partir de matières premières résiduelles, issues de la filière du recyclage des huiles de friture, des graisses animales ou des huiles de déchets agroalimentaires. L’ensemble de la filière de production des biocarburants est certifié ISCC et Schéma National. La société partenaire de Romano Energy est aussi certifiée Schéma National, système mis en place par le Ministère de l’Écologie, du Développement Durable et de l’Énergie. Les chiffres issus de ces systèmes de traçabilité sont certifiés par les Pouvoirs Publics et audités par Control Union, organisme indépendant spécialisé dans l’inspection et la certification. Romano Energy et ses partenaires fournissent ainsi un certificat de durabilité, attestant de l’origine française de la matière première et du biocarburant et rapportant les GES économisés sur chacune des livraisons, certificat publié par Control Union. Un audit de ces certificats peut être demandé à Control Union en supplément. En complément, nous accordons une très grande importance à l’origine des matières premières choisies par nos producteurs. Nous souhaitons privilégier les solutions les plus locales possible, en utilisant uniquement des matières premières d’origine française ou européenne. En aucun cas, nous ne travaillerons avec des biocarburants importés d’Amérique du Sud ou d’Asie comme le biodiesel de palme et de soja. Romano Energy remet à ses clients une attestation de durabilité rapportant les GES économisés sur chacune des livraisons.
Ces chiffres peuvent être utilisés pour vos démarches RSE ou dans les appels d’offres publics.

CERTIFICAT DE DURABILITÉ TYPE

Nous comptons remplacer 40 % des besoins mondiaux en moins de 20 ans.

D'ores et déjà, plus aucun des clients historiques professionnels privés et publics de la Société ROMANO ENERGY ne consomme de produits issus du pétrole !

Le carburant XTL/BLT RE peut être utilisé dans tous les moteurs Diesel lourds et légers existants, sans qu'il soit nécessaire de modifier le moteur, sans avoir recours à de nouvelles infrastructures, sans avoir besoin d'investir dans un véhicule neuf.

Il est particulièrement bien placé pour réduire les émissions des moteurs lourds : c'est là que les avantages du carburant sont les plus importants par rapport au diesel conventionnel. XTL/BLT RE convient donc dans le secteur des transports et également dans le secteur maritime, pour les véhicules utilitaires urbains, les transports publics, le rail et la navigation intérieure et offshore, entre autres. Il convient également aux engins de chantier et aux équipements de production d'électricité.

Voir l’article associé.

Le diesel 2.0 vu par WV

Ce regain d’intérêt envers le diesel est dû aux nouveaux moteurs TDI livrés en juin dernier et capable d’ingurgiter du gazole paraffinique (du carburant synthétique, pour simplifier la chose) conformément à la norme européenne EN 15940, qui réglemente tout ce qui concerne l’utilisation de bio-composants au sein des carburants.

Grâce à l’utilisation de ces « nouveaux diesel », les émissions de CO₂ sont 70 à 95 % inférieures à celles d’un diesel normal. Des valeurs qui, combinées à celles d’une flotte entièrement électrique, aideront le groupe Volkswagen à atteindre son objectif de réduction des émissions tel que défini dans son plan “Way to Zero”, qui vise à rendre l’ensemble du groupe neutre en carbone d’ici 2050.

Grâce à nos programmes de neutralité carbone !

Tout l’enjeu consiste à faire en sorte que l’ambition de neutralité carbone invite l’entreprise à se poser les bonnes questions et à mettre en œuvre des actions ambitieuses, à la hauteur de l’urgence climatique. C’était bien le problème de la neutralité « arithmétique » : chercher à atteindre un « zéro » le plus vite possible, en compensant ses émissions sur un périmètre arbitrairement petit, à l’aide de crédits carbone bon marché et de nature physiquement hétérogène, a peu de chances d’aboutir à un plan climat d’entreprise suffisamment sérieux. D’où le changement de paradigme en faveur de la contribution de l’entreprise à la neutralité collective, déjà proposé par le référentiel Net Zero Initiative en avril 2020 [7]. L’idée est d’inviter les entreprises à agir en faveur de la neutralité carbone, et de le faire sur les leviers les plus structurants :

• La mise en place d’une stratégie climat compatible avec l’Accord de Paris, portant à la fois sur les réductions d’émissions et les augmentations des puits directs et indirects de l’organisation.
• La participation à la décarbonisation de l’aval des entreprises, à travers des produits et services bas carbone venant remplacer des équipements ou usages plus carbonés chez les clients en utilisant des carburants durables et décarbonés.
• La contribution financière à la transition en soutenant des projets bas carbone en dehors de la chaîne de valeur de l’entreprise. Une manière d’agir en faveur de ce levier est d’avoir recours au marché volontaire du carbone et d’acheter des crédits. Il ne s’agit pas d’une démarche de « compensation », puisque ces crédits ne viennent en aucun cas annuler quoi que ce soit : un terme plus adéquat est le terme de « contribution ». C’est ce que nous proposons en complément de nos solutions bas carbone avec le programme « label bas carbone France ».

La responsabilité sociétale des entreprises (RSE) est une démarche qui vise à instaurer des pratiques en tenant compte des enjeux environnementaux et des priorités sociales. Les entreprises sont obligées de se conformer aux nouvelles réglementations en vigueur afin de maintenir une activité compétitive et attractive.

La RSE présente aussi de nombreux avantages pour les entreprises : en effet, aujourd’hui, les problématiques environnementales et sociétales sont primordiales pour retenir l’attention des consommateurs et des nouvelles générations.

Dans le monde du transport, les responsables doivent faire face à deux problématiques : d’une part, ils sont tenus de répondre à une demande en constante augmentation, et d’autre part, ils doivent réduire leur impact environnemental.

Nous nous engageons également a vous accompagner  dans une démarche de communication responsable. Celle-ci permet en effet de valoriser les actions engagées, les équipes et l’image, sans tomber dans le risque d’éco‐blanchiment (greenwashing) et en répondant aux attentes des parties prenantes, en particulier celles du public, de plus en plus sensible aux enjeux écologiques et méfiant vis‐à‐vis des discours des organisations.

Et Communiquer de façon transparente, proportionnée et distincte sur les différents leviers

Transport et mobilité en général : un secteur qui joue un rôle majeur dans la démarche RSE

Les chiffres de l’Ademe (Agence de l’environnement et de la maîtrise de l’énergie) indiquent que l’impact environnemental du secteur des transports est important : avec un taux d’émissions de gaz à effet de serre et de dioxyde de carbone qui représente 39 % des émissions totales (en 2018), les transports arrivent en première position.

Pour atteindre les objectifs fixés par les nouvelles réglementations, il faut augmenter de 25 % la part de marchandises transportées par voies maritimes et ferroviaires en 2020 (aujourd’hui 90 % des déplacements pour le transport de marchandises en France s’effectue à travers divers axes routiers). La mise en place d’une écotaxe kilométrique pour les poids lourds sur le réseau non concédé et l’amélioration des performances environnementales du fret routier devraient permettre d’atteindre ces objectifs. Les transporteurs doivent afficher leurs émissions de CO2 et peuvent s’engager volontairement en vue de réduire leurs émissions de C02 à travers la charte « Objectif CO2, les transports s’engagent ».

Pourquoi intégrer votre achat de carburant dans la RSE ?

La démarche RSE permet de bénéficier de multiples avantages :

1 – L’image de la société est valorisée

D’après une étude réalisée en 2017, « l’engagement citoyen » est le deuxième critère le plus important pour les Français dans le choix d’un produit ou d’un service. Lorsque vous intégrez la RSE au cœur de vos activités, vous gagnez plus facilement la confiance de vos clients et de vos partenaires. L’impact de la RSE sur l’image et la marque employeur ne doit surtout pas être négligé.

2 – Fidélisez vos salariés 

La politique RSE garantit le bien-être des salariés au travail : ils deviennent plus productifs et vous réduisez les dépenses relatives au turnover. Dans le cadre des campagnes de recrutement, vous trouverez des profils de candidats engagés dans l’éthique environnementale et sociale, des qualités importantes dans le relationnel avec les fournisseurs et les clients.

3 – La RSE pour acquérir de nouveaux marchés 

Aujourd’hui, les hauts responsables se basent sur des critères environnementaux, sociaux et gouvernementaux pour sélectionner leurs collaborateurs. En adoptant une démarche RSE, vous pouvez surpasser vos concurrents et gagner plus d’appels d’offres. Maximisez vos chances d’être sélectionné avec un label ou une certification ISO 9 001, ISO 14 001 ou encore ISO 26 000.

4 – Boostez la rentabilité

Lorsqu’une stratégie RSE adaptée à vos activités est appliquée, la réduction de la consommation d’énergie et la diminution des déchets entraînent une réduction des dépenses de votre entreprise. Vos activités deviennent alors plus rentables : en effet, l’investissement est moindre, avec une rentabilité satisfaisante.

Comment mettre en place une démarche RSE ?

Dans le secteur du transport, la mise en place d’une démarche RSE performante passe par le remplacement progressif des carburants fossiles par des carburants alternatifs (comme le B100, XTL, ED95, ou bioGNV).

La formation à l’éco-conduite est également une solution à explorer afin de réduire la consommation de carburants et les émissions de gaz à effet de serre. Mais, à terme, l’achat de biocarburants reste la solution la plus recommandée.

Pour trouver des idées innovantes dans la mise en place d’une démarche RSE au sein de votre entreprise, il est conseillé de désigner un chef de projet et de lancer un audit social afin de déterminer les meilleures pratiques environnementales, sociales et sociétales.

Vous pouvez également vous engager à travers les programmes de référence (programme EVE) créés pour aider les acteurs du transport et de la logistique à améliorer leur performance énergétique et environnementale. Des informations très utiles sont disponibles sur http://www.objectifco2.fr/.